C'était un vendredi après-midi et le temps était clair. Depuis quelques jour, le temps était divin. Il n'y avait rien à dire. Soleil et chaleur étaient là.
Je décidais donc de faire un tour à l'extérieur. Ces derniers temps, je ne sortais pas tellement. Depuis que j'avais perdu mes pouvoirs, j'avais de plus en plus de visions, mais elle étaient beaucoup plus saccadées. De ce fait, je n'y comprenais rien. J'évitais donc tout contact pour ne pas avoir à subir mes visions. De plus, de voir mon frère et mon fils contre moi n'arrangeait pas les chose.
Mais cela en était trop, je ne pouvais pas resté enfermer comme cela plus longtemps. Il fallait que j'affronte la réalité en face. Certes, le monde avait changé, mais je devais y faire face.

Je sortis donc de chez moi et je commençais à marcher dans les rues de Londres. Je ne savais pas trop où j'allais me rendre, mais ce qui était sur c'est que j'y allais. Au bout de quelques minutes de marches, je commençais à avoir quelques idées sur l'endroit où je pourrais me rendre. Pourquoi pas me rendre dans un parc de Londres. Je pourrais m'asseoir et profiter du soleil tranquillement.
C'était donc d'un pas tranquille et monotone que je me dirigeais maintenant vers l'un des parc de Londres.
J'essayais de mon mieux de ne pas bousculer les gens, mais les rues étaient pleines. C'est pour cette raison que je freinais le pas. Je ne voulais pas risquer d'avoir une autre vision surtout en publique. Si j'en avait une, j'aurais le regard vague pendant le temps de la vision et cela pourrait être mal interpréter et l'on pourrait croire que je suis un host. Je ne voulais pas risquer de me faire tuer pour rien.

En arrivant à l'entrée du parc, je fus pris dans mes pensées. Le fait de pensé aux chasseurs, me fit repenser à mon fils. Il me manquait. Cela faisait plus d'un moi que l'on ne s'était pas vu et cela commençait à me peser.
De ce fait, je ne fis attention à l'homme qui passait à côté de moi tant et si bien que je le bousculait. L'effet ne se fit pas attendre. Tandis que le jeune homme continuait sa route, une vision tout aussi fragmentaire vint à moi.

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Le jeune homme se tenait debout devant moi. L'environnement était terne tout autour de lui. L'ambiance était vraiment lugubre. Il y eu ensuite une sorte de coupure dans ma vision comme si l'on venait de me bander les yeux.

Quand le vision me reparu, le jeune homme n'était plus là. Au lieux de cela, il y avait plusieurs personnes devant moi. Il devait y en avoir une centaine, si ce n'est pas plus. Au lieux du même environnement terne que tout à l'heure, les personnes étaient entourées d'une aura lumineuse, presque aveuglante. Je les regardais, mais je ne connaissais aucune de ces personnes.
Toutefois, les personnes disparaissaient les unes après les autres, en emmenant avec eux l'aura qu'ils dégageaient. Il y eu un nouveau noir.

Quand je revis de nouveau, je revis l'homme de tout à l'heure. Toutefois, une différence se vis comparé à l'image que j'avais de lui tout à l'heure. L'aura qui se dégageait du groupe de personnes que j'avais vu précédemment venait progressivement se répandre autour de lui.
Il sorti ensuite sa baguette magique de sa poche et le pointa dans le direction depuis laquelle je regardais la scène. Il y eu ensuite un flash aveuglant, et je repris conscience.

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Je restais quelques instants à réfléchir sur la signification de ma vision. Je ne comprenais pas le rapport entre le groupe de personnes qui disparaissaient et le jeune homme que j'avais bousculer. Je ne comprenais pas plus pourquoi d'un coup il avait obtenu l'aura de ses gens.
La seule chose que j'avais compris de ma vision était que l'homme pouvais utiliser de sa baguette magique, ce qui était impossible à moins d'avoir retrouver ses pouvoirs.
J'aurais voulu pouvoir décrypter ma vision, mais je n'avais pas le temps, si cet homme avait vraiment retrouver ses pouvoirs, il fallait que je lui parle. Il se pouvait qu'il y ai d'autre manière de les récupérer que celle que les chasseurs employaient.

Je partis donc derrière le jeune homme en essayant de le rattraper. J'y parvins au bout d'un quart d'heure. Il avait prit beaucoup d'avance pendant le temps où j'avais eu ma vision. J'avais du donc essayer de retrouver dans quelle direction il était parti et essayer de le rattraper.
Une fois que je fus à ses côté je l'arrêtais et je pris la parole.

- Excusez moi! Est-ce que je pourrais m'entretenir avec vous s'il vous plait ?