« Prénom : Vaillant « Nom: L'Espérance « Age : 21 ans « Groupe : Moldu « Ville d'Origine : Montréal, Québec. « Ville Actuel: Londres, Angleterre. « Position : Il est fasciné par les êtres magiques et compte bien les aider, mais la violence n'est pas une chose qu'il accepte totalement, et il croit que la parole est la meilleure manière de faire les choses. « Emploi: Pour le moment, magicien des rues. Il a un emploi de disquaire et libraire à Montréal
Code by Anarchy
Dans ta tête, on y trouve quoi?
Il y a des choses qui ne se disent pas. Des choses qui restent secrètes à jamais, perdues entre le temps et l’espace, libre d’une vie qui n’était pas leur et surtout, invincible. Voilà ce que tu veux être. Tu en rêves chaque nuit, le cœur plus léger qu’une plume et les yeux remplis d’étoiles, malgré qu’ils soient fermés. Tu es un ange, un petit lutin qui aime bien croire en des choses étranges, juste pour ne pas ressembler à la marge des gens. On te dit souvent plus qu’étrange, mais c’est bien la seule insulte que tu prends comme un compliment. T’as le cœur le plus pur du monde, surement. Le plus vrai. Les mensonges, c’est la pire des conneries qui existent, avec les gens hypocrites, selon toi. Tu barricades ton cœur, souvent, parce les gens sont mauvais quelque part, et que t’accepte très difficile qu’une personne traverse les portes blindés de ton cœur. C’est limité, genre pour les VIP. Par contre, quad elles s’ouvrent, ces foutus portes, c’est violemment. Les gens se trouvent pris dans une tempête, quand tu leur fais confiance. Ils arrivent dans ton monde d’un coup de pied au cul, tombant tête première, et ils ont l’impression d’halluciner. Parce que t’es magique, mec. Quand t’es là, quand ils sont dans ton cœur, tu les lâches pas. Pour toi, c’est à la vie, à la mort. Un truc que tu signes avec ton sang, sans vraiment le faire. Tu tiens à eux comme à ta propre vie, et tu les touches, comme pour savoir s’ils sont vraiment là. T’es tactile, pire que tout. Tu touches toujours, toujours et toujours. Quand tu parles, tu passes un bras autour des épaules. Tu joues avec les doigts des autres, aussi, quand tu t’ennuie. Tu caresse le dos des gens, tu les prends dans tes bras. T’as besoin de les savoir là, parce que quelque part, t’as peur qu’ils partent, malgré le fat que t’as confiance en eux.
T’as un cœur pur, donc un cœur fragile. Tu entoures des gentils, des gens qui jugent pas, qui sont un peu différents comme toi, pour pas avoir mal. T’essaie de pas écouter les murmures, les conneries quand tu marches dans la rue, mais t’as toujours mal, au final. Ça te brise le cœur, de voir à quel point les gens sont limités par ce qu’ils voient, par le premier coup d’œil. Comme si l’apparence voulait tout dire. Ouais. Ça te donne envie de vomir, tellement c’est rendu superficiel, dans le monde. T’as envie de leur vomir à la gueule, de leur hurler ce que tu penses, mais tu le fais pas, parce que le monde est aveugle et sourd, maintenant. T’aimerais pourtant que les gens s’attardent à ce qui se trouve dans le cœur, et non sur le corps. T’aimerais voir le bon, au lieu du mauvais, dans la rue. T’aimerais que les hosts, les sorciers et tout le tralala soient acceptés partout par le monde, parce qu’ils sont comme une lueur d’espoir, un peu de pureté, de la magie dans le monde.
Toi, les mots, tu les prends trop à cœur. Un mot peut te blesser encore plus qu’un coup de poing dans le ventre, qu’un poignard en plein cœur. Les mots, c’est l’essence même de ta vie. Tu respectes toujours quelqu’un qui parle, tu coupes jamais la parole, même si ça te donne sur le cœur, ce que les gens disent. T’écoutes toujours en silence, parfois avec trop de cœur. Toujours avec trop de cœur, parce que les mots, c’est de poignard, ou alors des caresses, pour toi. Tu portes trop attention aux mots, en met souvent ta main au feu, à force d’écouter. T’aimes pas qu’on juge ce que t’aimes, car tu prends toujours ça comme une attaque personnelle, et quelque part, ça te fout les larmes aux yeux, quand les gens critiquent sans essayer de comprendre, alors que tu te casses la tête à essayer de les comprendre, toi.
T’es léger. Parfois, quand tu fais tes rues dans la rue, les gens s’approchent de toi, parce que t’as l’air accueillant, que t’as un grand sourire de gamin à la gueule, et des étoiles plein les yeux. T’es un rêveur, un gars qui vit avec ses rêves, ses trippes et de l’eau, voilà tout c’que t’as. Et pourtant, tu peux avoir l’air d’un animal sauvage, parfois. On te regarde de loin, et on voit que des couteaux dans tes yeux, et d’la rage. Tu te protéges voilà. Être trop gentil, ça attire les amis, les gens cons, et ça, t’en veux pas dans ta vie, donc voilà, tu restes loin, tu fais les yeux méchants, et t’attend ceux qui ont une passe VIP. Tu montres les dents, quand des gens puant l’hypocrisie et le mensonge s’approchent trop près de toi. Tu veux juste la vérité, que la vérité. Tu prône le mensonge, tu lui vomis à la gueule, au mensonge. Tu veux que la vérité, dans ta vie. Que ça, qu’elle soit bonne ou mauvaise. Autant dire les vrais choses maintenant, quoi. Alors, sans gêne, quand quelque chose te plait pas, quand t’aimes pas le comportement qu’une personne, ou les conneries qu’il fait, tu lui dis en pleine gueule. Tu sais user des mots assez bien pour ne pas te prendre des coups, et faire penser les gens. T’es genre la voix de la sagesse, le petit ange sur l’épaule du peuple.
Tu sais pleins de trucs bidons que t’as appris à ta boutique, à Montréal, en lisant les livres à la con qui trainent un peu partout, n’importe comment. Tu connais les trucs les plus cons du monde, et parfois, pour faire genre, tu les sors, juste pour rire, ou détendre l’atmosphère. T’aimes pas te donner des grands airs, en tous cas. Tu vas pas dire sur tous les toits que tu connais pleins de conneries sans importance. Tu crois que tout le monde est intelligent, surement plus que toi, même. T’as pas envie que quelqu’un se sente inférieur, ou alors petit à côté de toi, tu sais que ça fait mal. Tu préfère être au même niveau que tout le monde.
La violence… la jalousie… L’Impulsivité. C’est rare, mais c’est là, quelque part en toi. On peut le voir, parfois, quand tu marches dans la rue, qu’un truc pas bien se cache en toi, près à sauter sur le premier con qui s’en prend aux tiens. T’es un peu comme le loup solitaire qui a enfin une meute. T’es là, tout content de les avoir, tu fous la paix aux gens, mais quand on s’en prend aux tiens, les crocs sortent, les poings se lèvent et le sang gicle. T’aimes pas qu’on touche aux gens que t’aimes, tu détestes. Ça anime un truc pas bien en toi. T’es le genre possessif, à grogner quand on s’approche de la personne qui a pris ton cœur. Dés qu’un coup est donné, tu le donne cent fois plus fort, et à plusieurs reprises. T’es près à tuer, et bien souvent, c’est l’anémie, le manque d’énergie et l’oubli des suppléments qui te fout au sol, pas l’autre. Quand t’aimes, t’es prêt à enfermer la personne. T’en demande souvent trop, comme si t’avais peur que la personne parte, genre tu la mets au défi constamment. T’as trop vu de gens partir, et chaque fois qu’une personne regarde celle qui fait battre ton cœur, t’as l’impression que c’est quelqu’un de mieux que toi, quelqu’un qui peut facilement te voler ton amour. T’as peur de te faire remplacer, quoi.
T’es malade, aussi, mec. Depuis longtemps, genre depuis ton enfance. Anémique, ouais. Un manque de fer dans le sang, une connerie du genre qui te bouffe toute ton énergie, qui te donne des coups de chaleur et les pieds froids. Un truc pas sympa, ouais. Du coup, tu dois bouffer des suppléments avant de manger, genre deux heures avant. Mais le pire, c’est qu’tu bouffe jamais à des heures normales, juste quand t’as faim, donc t’oublie toujours. Le doc t’as donné une liste de deux trois trucs bon à bouffer, et pas bon. La liste, tu l’as perdu depuis longtemps, du coup, bah tu as souvent d’la difficulté à rester debout, et t’as beau être fort, tu te bats jamais bien longtemps, parce que les étoiles envahissent des beaux yeux. Pour toi, c’est normal. T’as appris à vivre comme ça, en oubliant constamment de prendre tes suppléments, du coup, tu t’y es fait, mais pas les gens. Il s’inquiètent toujours pour toi, et quelque part, ça te réchauffe le cœur.
Et ton histoire, c'est quoi?
31/12/1999
Et voilà, t’es là. T’as la bouche en cœur, les yeux pétillants et t’es couvert de sang comme tout un tas de mômes qui sont nés avant toi. T’es vivant, c’est bon. Tu cris, comme un con. T’es vivant. Vaillant. T’es bon, t’es fort. L’autre est mort, mais toi t’es là. Il était supposé s’appeler Echo L’Espérance, mais il est mort, mais voilà, t’es là. Le Jumeau Solitaire, le vaillant petit bébé. Tu devrais t’appeler Lazar, mais voilà, t’es un p’tit vaillant, t’as survécu quoi, alors tu t’appelle Vaillant. Le petit Vaillant, braillard et tout taché de sang. Bienvenue sur terre, mon chou. À peine né et tu vis déjà le pire. La perte de ta moitié. Pas chanceux. Ouvre grand les yeux, mon Vaillant, car le monde, il est beau, il est grand, mais encore mieux, il est sombre, et il est rempli d’attente, et de surprise, alors ouvre grand les yeux, bien grand, et observe ce qui t’attend. T’attends cette fin dont tout le monde à peur, le lendemain matin, et pourtant, rien ne se produit. Pour tes parents, tu es ce petit miracle qui sauve le monde. Tu es Vaillant L’Espérance, le sauveur du monde.
05/06/2000
Les autres enfants, ils ont droit à un jouet, au dessus de leur lit, qui tourne et qui tourne, qui fait retentir dans la pièce qu’est leur chambre une petite mélodie saine, et angélique. Toi, t’as le droit à mieux, toujours. De petits papillons, parfois, d’autre fois, des lucioles. Papa, il change toujours ce qui se trouve au dessus de ta tête, d’un bref mouvement de bout de bois. Maman, à côté de lui, l’observe avec les yeux remplis d’étoiles, et toi, dans ta couchette, tu gazouille comme le petit bébé que tu es, essayant t’attraper les petits animaux qui vagabondent au dessus de ta tête, et à un moment, petite boule de magie que tu es, tu parviens enfin à fermer les yeux, et ton bras tombe lentement…un bref baiser déposé sur ton front, et l’instant magique prend fin… le noir se faisant dans la pièce.
26/03/2002
Tu ris. Tu rigoles. Alors que la lumière du matin pénètre doucement dans la cuisine, éclairant votre vie, tu cours autour de la table, ton papa a tes trousses. Tu ris, et maman rit, en faisant à manger, tout en vous observant. Papa, lui, il fait des bruits de monstres, et tu ris, car tu trouves ça marrant, il parvient à peine à faire une imitation décente. Tu ris, et tu cours de ton plus vite, comme si tu faisais ça depuis toujours, alors qu’en faite, tu marches depuis à peine quelques mois. Tu as trois ans, et quand tu te perds dans tes souvenirs, aujourd’hui, celui-ci demeure ton plus beau, ton plus vieux…ton plus déchirant…
22/08/2004
Tu viens tout juste de commencer la petite école. Autour de toi, les enfants commencent à ne plus croire en la magie. Tu les trouves marrant, de plus croire à ça. Toi, t’en vois tout les jours, parce que ton papa, il est magicien, il fait toujours un tas de tour, et toi, tu adores ça. Mais les autres garçons ils te trouvent bêtes de croire à ça, et les petites filles te trouvent étranges, quand tu en parles, tu leur fais peur, tu crois. Alors, tu reste en silence dans ton coin, souvent les larmes aux yeux, et avec impatience, tu attends l’arrivé de ton papa, ou de ta maman. Tu n’aimes pas l’école.
16/01/2005
Finalement, tu fais école à la maison. T’as pleuré, quand ton papa t’a dit ça, mais c’était de joie. Oh oui, tu es content. Ta maman elle est toute énorme, maintenant, et elle est enseignante, en plus, alors elle va t’apprendre tout ce que tu dois savoir. Elle a le temps, maintenant, vu qu’elle est toute énorme, comme une baleine, que papa dit. Tu trouves ça drôle, à chaque fois, et maman fait semblant d’être fâchée, mais quand papa la chatouille, elle finit toujours par rire.
02/05/2005
Tu es grand frère. Et voilà. Si si, papa vient te de le dire. Tu as appelé chez grand-maman, là où tu te trouves, pour te dire tout ça. Tu dormais, mais bon, tu es content d’apprendre ça. Tu as un second frère, maintenant. Maintenant, il y a Damien, Vaillant, et Léopold. Vous êtes trois, maintenant, comme les trois mousquetaires.
10/11/2012
La boutique de ton père, tu l’adores. Elle est toute étrange, perdue au milieu d’appartement sur une rue plus ou moins connue, mais tu l’adores. Elle attire le regard, toujours. Le bazar, qu’elle s’appelle. Ton père t’a dit que c’était un ancien duplex qu’il a acheté, et tout retaper. Tu aimes te perdre dans les rangées de livres qui s’y trouvent, et observer tout les vinyles qu’il a trouvé, par ci par là. Tu sais pas vraiment elle sert à quoi, sa boutique. Ton père, il dit que c’est comme une librairie, un disquaire, et que tout le monde peut venir ici, lire un peu, s’amuser et parler avec les gens. Un coin à eux, qu’il dit. Ton père, maintenant, il est toujours là. Vous vivez au dessus de la boutique, maintenant, et même si maman se plaint parce que les gens qui viennent sont louches- des adolescents troués et tatoués, elle va toujours leur apporter à manger, ou cuisiner pour eux en bas. Plusieurs fois, des gens étranges mangent avec vous, et toi, tu les trouve fascinants. Tu les adores. En fait, tu dois passer le plus clair de ton temps en bas, avec eux, à lire du Baudelaire, du Victor Hugo et tous les trucs du genre. T’aimes apprendre, au croire.
20/09/2017
Tout est noir. Tout est sombre. Le regard baissé, les mains serrés et le corps tremblants, tu observes ce trou dans la terre, et puis ce cercueil si noir, si sale… sa dernière demeure à jamais, et elle ne ressemble en rien à ton père. Elle manque de couleur, elle manque de vie. À côté de toi, ta mère pleure, accrochée à ton frère ainé, Damien. Léo essaie de retenir ses larmes, du haut de ses douze ans, et tu ne peux t’empêcher d’avoir le cœur brisé, et l’envie de lui hurler de pleurer, car à un moment, il craquera, et ça sera pire que tout. Tu sais comment il est, Léo. Il éclate toujours au mauvais moment, car il ne dit jamais ce qu’il pense. Silencieux, tu déserre tes mains, et en pose une sur son épaule. Il te lance un regard bien noir, bien mauvais, mais au bout d’un moment, tu vois bien les larmes dans ses yeux.
« Pleure, tu peux. Pleure. » « Ta gueule, caliss, j’suis pas une esti d’mauviette. »
Il se dégage d’un mouvement sec, les larmes débordantes de ses yeux, et quitte l’endroit d’un pas rageur. Tu t’en fiche. Au moins, il pleure. Il ne t’en veut pas vraiment. Ta mère te lance un regard, et tu contente de lui sourire, pour la rassurée. Elle te connait bien. Rapidement, elle est rassurée, et son regard retourne vers le tombeau de son défunt mari. Pleure, maman, pleure toutes les larmes de ton cœur, pleure tout l’amour que tu as pour lui.
11/03/2019
Tu as repris la boutique de ton père, finalement. Ta mère a bien essayé de s’en occuper, tout comme Damien, mais elle n’est pas faite pour eux. Elle ne les comprend pas, ne les écoute pas. Cette boutique, elle en fait qu’à sa tête, et elle choisit elle-même son proprio. Toi, elle t’a choisi. Tu connais l’emplacement de chaque livre, malgré le fait qu’il n’y est pas d’ordre, que les couloirs soient encombrés et que les étagères débordent. Tu connais chaque visage qui franche les portes, chaque silence et chaque sourire. Cette boutique, elle fait partie de toi depuis ton enfance.
22/03/2021
Voilà, tu as décidé. Tu veux partir. Pourquoi? Et bien, tu n’aimes pas ce que tu entends par le monde. Tu n’aimes pas que les gens soient si aveugles, qu’ils méprisent et surtout détruisent ce qu’ils ne comprennent pas. Ça te rend malade, ça te donne envie de vomir. Alors, tu veux agir, faire changer les choses. Tu ne sais toujours pas comment tu vas t’y prendre, mais tu sais parfaitement où tu dois aller. Londres. Là où se trouve la base centrale, primaire de la Lincoln Corporation, cette organisation si dégueulasse, si monstrueuse qui blesse et détruit des gens qui méritent surement plus de vivre que d’autre.
« Mais t’es complément taré, mec?! Comment tu veux foutre le camp là bas alors que tu parles pas du coup l’anglais, hein? T’es taré. Complètement barge. Connard. »
Tu ris. Ton frère, il est toujours comme ça, à dire les pires conneries, quand son cœur est touché. Il veut pas que tu partes, le petit. Un léger sourire aux lèvres, tu lui ébouriffe les cheveux, et tu prends ses mains dans les tiennes.
« Hého, j’suis plus grand, qu’toi, hein? » « On s’en criss, t’es con. Et puis comment tu vas faire pour tes médocs, hein? Sans moi, tu vas oublier? »
Tu lui souris, ému par ses mots un peu cons, un peu bêtes, puis tu prends ton sac, et tu fous le camp après lui avoir mis les clés du bazar dans les mains. T’as choisi. Désolé, Léo.
03/05/2021
Les rues, c’est ton monde. Tu y vis maintenant, tu connais tout les racoins de la ville. La langue, tu y connais toujours rien, à l’exception des bases, et ton accent de merde aide pas vraiment les choses. Tu chantes dans les métros, fait quelque tour de magie que ton père t’a appris, autrefois. Tu n’as pas de pouvoir, ouais, mais tu sais faire des tours. T’es un magicien, mais d’un autre type. Tu dors dans les squattes de sans-abris, ou alors de camés, mais tu t’en fiche, t’aimes ça. Mais n’empêche, tu trouve pas comment faire pour changer les choses. Tu dois agir.
Code by Anarchy
Dernière édition par Vaillant L'Espérance le Lun 9 Juil - 23:27, édité 5 fois
April James
Sujet: Re: Vaillant L'Espérance ♣ Ven 6 Juil - 5:40
Bienvenue !!
Oh du VH dans ta signature ♥ Et vive Londres !
Au passage quelles polices as-tu utilisées au début de ta présentation ? Comment as-tu fait pour qu'elles soient prises en compte par le forum ? Les balises ça marche ou c'est un iframe ? Pardon de ma curiosité ! ----------------->
Merlin
Sujet: Re: Vaillant L'Espérance ♣ Ven 6 Juil - 5:42
Haha April, toujours curieuse *out* C'est la nouvelle présentation, vu qu'on n'appréciait pas tout particulièrement l'ancienne, et qu'elle était là le temps qu'on trouve autre chose ^^ Tu peux aller voir le code dans le modèle de présentation, donc ^^
April James
Sujet: Re: Vaillant L'Espérance ♣ Ven 6 Juil - 5:44
Aaaaaah ouki ! Merci Merlin !
Lorcan Scamander
Sujet: Re: Vaillant L'Espérance ♣ Ven 6 Juil - 8:01
WELCOME \o/
Alexander Lincoln
Sujet: Re: Vaillant L'Espérance ♣ Ven 6 Juil - 10:20
Bienvenue
Frederick Weasley
Sujet: Re: Vaillant L'Espérance ♣ Ven 6 Juil - 15:56
Bienvenuuuuuuuuuuuuuuuue
Bon courage pour ta fiche!
Hilary Williams Lovely Wife | Kind Woman
Sujet: Re: Vaillant L'Espérance ♣ Ven 6 Juil - 18:07
Bienvenue parmi nous !! ^^
Neo K. Belzebuth it's a mad world
Sujet: Re: Vaillant L'Espérance ♣ Ven 6 Juil - 21:07
Tu pue. T'es beau.
Clémence Jolicoeur
Sujet: Re: Vaillant L'Espérance ♣ Sam 7 Juil - 1:37
WHOAAAA LE BOYFRIEND BIENVENUE o/
Revan Creed
Sujet: Re: Vaillant L'Espérance ♣ Sam 7 Juil - 13:00
Un moldu pacifiste...quel ennui ! Bref, bienvenue
Vaillant L'Espérance
Sujet: Re: Vaillant L'Espérance ♣ Mar 10 Juil - 0:12
FICHE TERMINÉE O/
Vivianne
Sujet: Re: Vaillant L'Espérance ♣ Mar 10 Juil - 1:17
Citation :
Fiche validée Bon jeu!
Merlin
Sujet: Re: Vaillant L'Espérance ♣ Mar 10 Juil - 3:07