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 Shin Y. Yazawa

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Shin Y. Yazawa
Lonely Boy
Shin Y. Yazawa



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MessageSujet: Shin Y. Yazawa Shin Y. Yazawa Icon_minitimeSam 2 Avr - 21:36

Citation :

    Shin Y. Yazawa GRIM.292722.2.0
> Caractère;
Déterminé
Solitaire
Claustrophobe
Libre
Arrogant


    Sinichi Yazawa ;.
    « Age : 22 ans
    « Clan demandé : Sorcier
    « Avatar : Shun Oguri


Situation Familiale ;.

    « Mère : (prénom, nom, âge, métier...) : Inconnue
    « Père : (prénom, nom, âge, métier...) : Inconnu
    « Soeur(s)/frère(s) : Aucun
    « Lien familiaux avec des personnes du forum : Aucun
    « Histoire Familiale; Famille inconnue


Description Physique ;.

    « Sexe :
    « Taille : 1 mètre 82
    « Corpulence : (gros, mince, musclé, boudiné etc...) Grand, Musclé.
    « Couleur et forme des yeux : Yeux marrons et verts.
    « Couleur et type de cheveux : Cheveux noirs, la plupart du temps en bataille. Il ne s'en préoccupe pas plus que ça.
    « Couleur et type de peau : Faciès asiatique. Il a portant, par rapport à beaucoup, une peau très claire.
    « Signes particuliers :
    La blancheur de la peau de Shin est une contraste parfaite quant à ses cheveux foncés. Peau lisse, il est l’une de ces personnes chanceux à être passé outre l’acné, outre les champs de boutons. Aucune cicatrice, donc, d’un quelconque ratage lors d’une tentative pour esquiver cette partie des plus désagréables de l’adolescence. Non, tout est parfaitement agencé, là-haut. Deux yeux parallèles, un nez fin Même les boucles désordonnées semblent avoir été placées comme ceci par souci d’esthétique. Il faut dire que Shin aime le faire croire. Car s’il ne prend pas plus soin que ça ne son visage, rien n’empêche que le compliment est ce qu’il aime le plus recevoir.

    Pourtant, la coupe brune, cheveux de pailles, n’est qu’un désordre indomptable et fabuleux. Cela est certainement du au trop grand manque d’attention qu’il y portait au cours de sa jeunesse. Pourtant, rien n’est choquant, et de simples coupes chaque mois sont amplement suffisantes pour les rendre superbes au regard. Plus rêches au toucher, certes, mais il ne s’en formalise pas.

    On ne peut réellement parler de ses cheveux sans prendre en compte ses yeux. Yeux marrons pâles, qui vacillent parfois vers le vert, en fonction de ses pensées, de ses émotions. Pétillants, profonds, on s’y plonge, on n’en ressort pas. Encadrés par de longs cils, ils sont, selon lui, ce qu’il y a de plus intriguant, de plus mystérieux chez lui. Et s’il s’agit là de son avis, on peut dire qu’il a été rejoint au fil des années par les nombreuses des personnes qu’il a fréquentées.

    Le plus impressionnant reste, cependant, et malgré tout ce qu’on pourra dire, sa carrure. S’il n’est pas plus grand qu’un autre, dans le mètre quatre-vingt, il a du muscle au possible. C’est le genre de personne que l’on croise en se disant qu’on ne va pas lui marcher sur le pieds. Vingt et unes années à survivre plus qu’à vivre ont fait de lui un homme fort et implacable. Certaines personnes, en plaisantant, lui ont déjà dit qu’il pourrait tuer un ours à mains nues. Il faudrait qu’il essaye, un jour.


Description Mentale ;.

    « 3 Qualités : Déterminé - Adroit - Intelligent
    « 3 Défauts : Arrogant - Fier - Manipulateur
    « Manies ou tics : Il arrache les petites peaux autour de ses ongles dès qu'il s'ennuie ou qu'il est stressé.
    « Hobbies ou passions : le Dessin, la Musique. Il joue de la basse et de la guitare.
    « Caractère : Shin n’a jamais été, à proprement parlé, un enfant. Dès son plus jeune âge, il a du se débrouiller pour vivre, pour survivre, seul. Abandonné par ses géniteurs, il ne connait pas la compassion. Lorsqu’un autre jurerait sur sa mère, lui-même jure sur le pain. Il connait les bases de la vie, fait avec le stricte minimum, et s’en contente comme il peut. De manière, il ne peut réellement demander plus, car on ne lui donnerait pas. Ce n’est rien d’autre qu’un pauvre gamin, comme disent ces vieux qui le croisent, en le laissant sur le pavé, sans lui tendre la moindre bouché. Relégué au rang de raté par les autres enfants de la rue, il passe cinq années de sa vie qu’il n’est pas le moins que rien qu’il voit à travers ses yeux. Sa détermination sans faille, il grandit avec, il l’élève seul. Lorsqu’on se retrouve, à cinq ans, sur le pavés, de toutes manières, ce que l’on fait, on le fait sans l’aide des autres.

    Il découvre bien rapidement que la rue, lorsqu’on y grandit, on n’a plus réellement besoin, à proprement parlé, d’imagination. C’est elle qui imagine la suite pour vous, et on découvre bien trop vite que le destin à, la plupart du temps, des idées originales. Peut-être un peu trop, parfois, si on y pense bien. On s’aperçoit qu’on plonge, et que personne n’est là pour nous tendre la main, nous sortir du trou. On trouve toujours plus de personnes prêtes à nous appuyer sur la tête, afin qu’on ne remonte pas. Pourtant, si Shin croit en une chose, c’est qu’avec de la volonté, on peut changer du tout au tout ce qui est déjà écrit. Avec ou sans l’aide d’autrui, avec ou sans toit, avec ou sans parents …

    Enfant claustrophobe, arpentant les rues. Il sait que plus jamais, il ne pourra être enfermé. Il cultive une peur phobique des quatre murs, et craint chaque jour un peu plus qu’on ne vienne le prendre pour l’enfermer en intérieur. S’il n’a plus grand-chose, il sait que, comparé à beaucoup d’autre, il a encore la possibilité de se vanter d’être libre. La liberté, meilleure amie de petit homme. Il la vénère comme il la craint. Il sait qu’il tuerait pour elle, mais s’enrage à éviter le pire. Car il ne tuerait pas pour elle, ce serait elle qui le tuerait. Cette peur dévorante de l’enfermement le rend insupportable, arrogant. Il comprend de mieux en mieux que la peur est sa pire faiblesse. Il cache cette horreur sous un masque de grand, de grand garçon de sept ans. Il change donc du jour au lendemain, devenant sarcastique face à chaque remarque, arrogant face aux fiers, et méprisant face aux plus faibles. La répartie se développe un peu plus dans sa bouche, chaque jour, et ne tardant à arriver à son summum. Celui qui se dresse face à lui le regrette. Face aux plus faibles, il gagne. Face aux plus forts, il perd. Il perd, mais il apprend. La rancune le tue un peu plus à chaque fois, et il sait qu’un jour, tous regretteraient de s’être un jour mesuré à lui, de l’avoir un jour étalé au sol.

    Esprit de chef, il forme un maigre groupe composé des rares personnes auxquelles ils prêtent encore un peu de respect. Car non, le respect n’est pas son maitre-mot. Esprit de vainqueur, guerre des gangs, entre ces gamins âgés de sept à treize ans, tous plus fourbes les uns que les autres, tous dépourvus de ce qu’ils auraient le plus besoin, une famille. Mais tout cela, tout cela n’a finalement qu’un seul but. La nourriture. Ils s’arracheraient une oreille, pour un quignon de pain. Et puis, peut-être, aussi, au passage, pour alimenter l’honneur, l’honneur et la fierté. Seuls possessions de ces enfants perdus …

    Dans tout ça, toute cette pagaille, il finit par découvrir le charme qu’il dégage. Et il sait que rien ne le désavantagera de ce côté. Rien n’est de meilleure qualité qu’une gueule d’ange pour obtenir ce que l’on souhaite. Tout ce que l’on souhaite. Il commence par ces bouts de pain, soutirés, après un sourire charmeur, à de jeunes femmes. Avant de se concentrer, plus âgé, sur a femme elle-même. Il obtient tout le temps ce qu’il désire, et les autres le qualifie régulièrement de pourri-gâté. Pourri gâté par lui-même, c’est vous dire. Ce charme constant ne se tarit pas, surtout après un apprentissage parfait quant à son utilisation, durant les heures perdus qu’il possède. Il cumule un nombre de réussite quand à ses conquêtes fort bien élevé, et s’en vanterait à qui veut l’entendre. Il finit par élargir ses horizons un jour où les femmes viennent à « manquer », et est depuis ce jour socialement classé comme bisexuel. Il ne fait pas attention, ou du moins on peut le croire, aux remarques désobligeantes de certains en rapport à ça, et le nombre constamment élevés de personnes l’ayant ennuyé se retrouvant avec un bras ou un genou cassé finit par tarir les rumeurs affolantes et insupportables qui courraient sur lui.

    Il finit par se stabiliser dans sa course folle face à la vie le jour où il apprend l’existence de la magie. Déstabiliser face à quelque chose qu’il n’a pu apprendre seul, il finit par se dire qu’il peut, peut-être, avoir un jour besoin d’un autre pour apprendre. Mais rien, dans se château, ne peut complètement le calmer, si ce n’est l’envie intarissable de s’échapper. Portant, il aime Poudlard, qui le rend différent. Car chaque début Septembre, oui, il est là, dans le Poudlard Express. Chercheur d’ennuis, il découvre rapidement qu’il n’est pas bien compliqué de faire croire aux plus vieux qu’il n’est rien d’autre qu’un ange, en étant finalement le plus intenable.


    Sa sortie de Poudlard ne se fait pas dans les larmes, car enfin, la liberté, vraie et pure, l’attend. S’il tente de perdre les traces de son passé, les détails marquants restent, l’habitude de vie aussi, et c’est dehors qu’il passe la plupart de son temps.


Histoire ;.

    «

    5 Mars 1990 - 2 H 17
    Un cri, un sanglot. Pas de la tristesse, non. De la souffrance surement. Et rien que ça. Pas de joie de la bouche de la mère, pas de joie de la bouche de l’enfant. Elle se contente de le faire naître, de lui faire découvrir le jour. Jamais, durant les neuf mois passés, elle ne l’a aimé ne serait-ce qu’un instant, et ce n’est pas en voyant son visage que cela change. Elle le prend dans ses bras, un faux sourire aux lèvres, lorsque l’infirmière lui tend, mais rapidement, elle repose le jeune garçon dans son lit.

    Il ne vient pas. Elle doit rester calme malgré tout. Si elle s’énerve, tout explose. Elle sait bien qu’elle n’est jamais parvenue à maitriser sa colère, qu’à chaque fois, il y a quelque chose de brisé. Ce n’est pas elle, c’est sa magie. Elle n’y peut rien. Et puis, lui, il déteste tellement ça. Alors, tant bien que mal, elle le cache. Elle ne veut pas le perdre. Si l’enfant montre des signes de magie, elle ne le gardera pas. Elle veut un père fier de son fils.

    Il arrive, enfin un vrai sourire.

    13 Juillet 1995 - 16 H 48

    Citation :
    « QU’EST-CE QU’IL FOUT, CE CON ?! »

    Le petit homme, blottit, recroquevillé sur lui-même, pleure. Il y un instant, il riait, en faisant voler les objets qui l’entouraient, leur ordonnant un ballet silencieux. Mais son père est rentré. Il l’attrape par le col, et lui hurle dessus. Plusieurs des objets, les plus fragiles, se brisent sous la pression qu’endure le gamin. Soudain, contact avec le sol. Il a l’impression que sa colonne vertébrale se brise. Et ce n’est rien, comparé à la douleur qui lui élance la joue, quelques instants après. Il veut se relever, chancelle. Soudain, une voix féminine, ferme. Elle lui demande d’arrêter, il le fait, et sort de la pièce.

    Elle s’approche du petit. Ni compassion, ni pitié. Juste de la rancœur. Elle le prend dans ses bras, et descend l’escalier, traverse la maison, jusqu’au Hall d’entrée. Elle attrape un vieux manteau marron à capuchon, glisse un vieux bout de pain, du fromage, et deux sucreries dedans, avant de le passer sur l’enfant. Elle le prend dans ses bras. Rapidement, il s’endort, la tête sur son épaule.

    Une impasse. Sombre ! C’est-ce qu’elle cherche depuis des heures, dans ce quartier miteux de la banlieue de Londres. Elle ne regarde pas le visage de l’enfant. Son enfant. Elle ne fait que le poser là, et sans un seul regard derrière elle, repart. Elle ne l’a jamais aimé, elle n’est pas une mère digne, il grandira mieux seul. Elle le sait, c’est pour cela qu’elle le laisse ici. Elle n’a plus qu’à l’oublier. Et elle sait que ça ne tardera pas.


    13 Juillet 1995 -
    23 H 34

    Citation :
    « Eh ! Réveilles-toi, gamin ! »

    La voix est sèche, dure. Shin ouvre les yeux. Il a l’impression d’avoir dormi des jours. Sa joue le lance. Il essaye de se lever, et s’aperçoit que son dos aussi. Il lève les yeux. Devant lui, un enfant, d’une douzaine d’année. En regardant plus attentivement, il s’aperçoit que c’est une fille. Elle est salle, blessée. Elle saigne, et à de nombreux bleus. Mais malgré cela, malgré ses cheveux en bataille, elle est belle. D’une beauté pure, en rien superficielle. Il se lève, après de grands efforts.

    Citation :
    « Viens, les condés approchent. On est dans la merde, si ils nous trouvent là. »

    Elle le prend par le bras, et l’entraine dans les ruelles. Elle est agile, se déplace facilement. Lui a plus de mal, mais son petit corps lui permet de se faufiler dans les endroits les plus exigus. Une voix grave se fait entendre. La jeune fille lui appuie sur la tête, et le pousse dans une crevasse, au pieds d’un muret. Elle pousse un cageot devant. Il est invisible. Il ne sait pas où elle va après. Il n’attend plus qu’une chose, qu’elle revienne le chercher. C’est inconfortable, son dos le fait souffrir, mais il attend. Il sait, il sent qu’elle reviendra.

    Quelques dizaines de minutes après, il voit la caisse voler, et un pieds passe juste devant son nez. Elle s’agenouille près de lui, et lui lâche un sourire.

    Citation :
    « Ils nous ont pas eus ! Pour changer … »

    Elle le voit s’affaisser. Il n’a pas l’habitude de bouger, lui qui a passé sa vie enfermé. Elle le prend dans ses bras, et court comme elle peut, malgré son fardeau. Elle arrive rapidement dans un minuscule entrepôt désaffecté, et rentre par une fenêtre brisée. Elle pose l’enfant sur une vieille couverture rongée aux mites, et ouvre une petite boite. Elle en sort un pain, et un minuscule bout de viande. C’est rare, alors elle savoure. Elle sent ses yeux se fermer. Elle va s’allonger près de l’enfant, et s’endort, plonge dans un sommeil sans rêve.

    14 Juillet 1995 - 08 H 15

    Il ouvre les yeux. Pourquoi le plafond est marron ? Dans sa chambre, c’est blanc, normalement. Il se souvient. Il tourne alors la tête, espérant trouver la fille, mais elle n’y est pas. Il se relève, sentant son dos encore douloureux, et met ses mains dans ses poches. Il sent alors les quelques aliments, et attrape le quignon de pain qu’il porte à sa bouche. Frugal, mais il n’a jamais eu d’appétit. Ca lui suffit bien pour le moment. Soudain, des bruits de pas. Il se tourne vers la fenêtre. C’est elle, elle est revenue !

    Citation :
    « T’es réveillé ? »

    Il hoche la tête, intimidé. Il ne savait vraiment quoi lui dire. La remercier ? C'était certainement une très bonne idée, mais il avait l'impression que ses lèvres étaient collées. Elle lui fit un sourire, et l'invita, d'un geste de la main, à la suivre. Il se leva et sorti à sa suite par la fenêtre.


    Durant des mois, elle lui apprit. Elle lui apprit tout ce qu'il lui fallait pour survivre dans cette jungle bétonnée. Il écoutait, il apprenait. Elle n'était pas tendre, mais elle ne pouvait pas être plus froide que la mère de son enfance. A chaque bêtise, il s'en voulait pendant des heures, elle le savait bien. Mais elle restait dur, c'était beaucoup mieux pour lui. Durant quatre ans, il vécut avec elle. Un jour, tout bascula. Il en était persuadé, aujourd'hui. S'il avait été là, il aurait pu l'aider. Mais c'était trop tard.

    11 Octobre 1999 - 19 H 06

    Citation :
    « SHIIIIIIIIIIIIIN »

    Il avait entendu son nom. Etait-ce une illusion, ou l'avait-on réellement demandé. C'était de trop loin, comment pouvait-il en être sur ?

    Citation :
    « Onēsaaan ? »

    Pas de réponse. Il avait du se tromper. Pourtant ... Une mauvaise impression, peut-être ? Il sentait quelque chose d'anormal. Il regarda autour de lui, et trouva une caisse, dans laquelle il rangea tout ce qui pouvait l'encombrer. Il se mit à courir, certainement plus rapidement que quelqu'un qui aurait le double de son âge. Il se faufilait, grimpait. Soudain, il attendit. Ses sens étaient affutés, et les hurlements de l'alarme de la voiture de police ne put lui échapper. Il ouvrit grand les yeux, encore plus alerte qu'à l'instant. Il aurait du venir plus vite. Lorsqu'il arriva, il ne pu que voir la voiture tourner au coin de la rue, disparaissant dans la pénombre de la soirée qui venait de venir de se coucher.

    Shin s'approcha des lieux du crime, les larmes aux yeux. Il s'assit, là où s'était peut-être tenue la jeune fille lorsqu'ils étaient arrivés. Il entendit un crissement, et se releva. Un collier. Un minuscule collier en argent, qui représentait des ailes. Dessus, un V et un W entrecroisés. Il le mit autour de son cou, l'attacha de ses mains habiles, et essuya ses larmes. Il ne devait pas pleurer, surtout pas !

    12 Octobre 1999 - 23 H 35
    Cela faisait des heures qu'il pleurait là, comme perdu. Il était désormais seul, complètement seul. Il était resté là des heures, en espérant la voir apparaitre, comme à chaque fois, un sourire aux lèvres, mais rien. Soudain, la rage s'empara de lui, remplaçant la tristesse. Il hurla, et pendant qu'il tentait d'évacuer sa haine par son cri, il vit le mur en face de lui trembler violemment, et une grande partie des objets qui étaient restés là lorsque l'entrepôt avait été abandonné, s'envoler. Il n'y prit pas garde sur le moment, tentant simplement de se calmer. Il attrapa quelques bouchées de pain, de quoi grignoter, et il sortit par la fenêtre. derrière lui, une autre fenêtre se brisa.

    01 Septembre 2002 - 18 H 42
    Il leva les yeux. Il venait de sortir du train rouge. Derrière lui, il entendit la locomotive fumer. Devant lui, un lac, et, le surplombant, un château. Poudlard. La vieille à la robe écossaise qui l'avait rencontré lui en avait parlé. Il ne savait trop à quoi s'attendre, mais il se disait qu'entre les murs de ce château, il ne se sentirait pas libre comme il l'était dehors.

    01 Septembre 2002 - 19 H 33

    Citation :
    « SERPENTARD »

    30 Juin 2009 - 20 H 12
    Ca y ets. Il était libre, complètement libre. Il avait tout parfaitement appris, il n'avait pas particulièrement passé des mauvaises années. mais pourtant, il ne ressentait en aucun cas de la tristesse en se disant qu'il n'y reviendrait plus. C'était ... De l'indifférence, certainement. Pourtant, il savait bien qu'il ne se séparerait jamais de la baguette qu'il tenait dans sa poche. Elle l'aiderait à avancer, et à parvenir à son but. Elle retrouverait Onëssan, comme il se l'était toujours juré. la magie l'aiderait.

    21 Décembre 2012 - 02 H 17
    Il se réveilla en sursaut. Soudain, il eut l'impression qu'il allait vomir. Il se précipita vers les toilettes, mais s'aperçut que rien n'arrivait. Et rapidement, ce fut pire. Il avait l'impression qu'on lui arrachait le coeur. Il souffrait autant que si on lui avait coupé un bras. Il plaqua sa main sur sa bouche, sentant un liquide couler. Dans sa souffrance, il s'était mordu la langue, et les gouttes vermillons tombaient désormais sur le carrelage. La douleur était trop intense, il s'évanouit. Il rêva d'une jeune femme, une sorcière, certainement, vu les pouvoirs qu'elle avait. Mais, peu à peu, son visage s'effaçait. Il avait la sensation de la connaître, mais ne pu replacer un nom dessus ...



Derrière l'écran ;.

    « Prénom : Eveuh
    « Pseudo : Chaton 300 \o/ xDD
    « Âge : 14 ans
    « Aime/ N'aime pas : Houlaaa ... J'aime Scroufy \o/
    « Où avez-vous connu le forum ? : Nobuoooo
    « Autre :
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Merlin

Merlin



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MessageSujet: Re: Shin Y. Yazawa Shin Y. Yazawa Icon_minitimeMar 5 Avr - 18:48

Citation :
Fiche Validée, Shin ♥
Bienvenue sur le fow!
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Shin Y. Yazawa

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